Demander au gouvernement de toujours légiférer n’est pas la solution aux nombreux problèmes de notre société et certains l’ont compris comme on peut le constater par l’article qui suit.
Le prix à payer pour un gouvernement trop puissant ne se traduit pas seulement en dépenses plus accrues mais en la perte des valeurs inestimables -- nos libertés individuelles et autonomie.
L’entreprise libre a la faculté de répondre exactement aux besoins réels d’une société car elle peut s’adapter au fur et à mesure que les besoins changent. Le rôle du gouvernement est de s’assurer qu’il n’ait pas d’abus et que l’entreprise libre réponde équitablement aux besoins essentiels de la population là où la compétition est absente pour assurer la bonne mesure.
Les extrêmes se touchent, aussi faut-il rester constamment aux aguets afin de ne pas verser d’un extrême à l’autre. Un gouvernement sera digne du qualificatif ‘’efficace’’ lorsqu’il saura établir et maintenir cet équilibre si essentiel à une démocratie saine.
Étude de l’Institut Fraser et de l’Institut économique de Montréal
Manning et Harris déplorent la réglementation gouvernementale accrue
La PRESSE CANADIENNE
Preston Manning et Mike Harris affirment que le Canada doit se tourner vers des politiques fondées sur le marché et non sur une réglementation accrue.
L'ancien chef de l'opposition fédérale et l'ex-premier ministre de l'Ontario font valoir leur point de vue dans un document de réflexion publié mardi par l'Institut Fraser et l'Institut économique de Montréal.
Dans ce nouvel ouvrage, les deux hommes prônent essentiellement l'adoption des principes de la libre concurrence, un renforcement de la responsabilité des individus et un élargissement du choix offert à ces derniers. Selon eux, des approches tournées vers le marché permettraient de faire face efficacement à des problèmes allant des questions environnementales à la tarification énergétique, en passant par la pauvreté chez les autochtones. Ils estiment que bien des Canadiens réclament à tort une réglementation accrue au lieu de prôner la mise en place de politiques tarifaires et d'incitatifs économiques adéquats.
MM. Manning et Harris citent le Protocole de Kyoto comme exemple de réponse gouvernementale à un problème environnemental. Selon eux, les approches réglementaires de ce type génèrent des coûts importants et sont souvent davantage axées sur la microgestion que sur l'atteinte de résultats concrets. Ils affirment qu'il faut plutôt faire en sorte que les émetteurs de gaz à effet de serre assument intégralement les coûts d'une réduction des émissions.
Prenant l'exemple de l'eau, ils expliquent qu'un système de tarification amènerait les Canadiens à prendre conscience de sa véritable valeur chaque fois qu'ils ouvrent un robinet ou qu'une entreprise plonge un tuyau dans une rivière ou une nappe souterraine.
En ce qui a trait à la question de la pauvreté chez les autochtones, MM. Manning et Harris estiment que le système des réserves, le recours constant au financement gouvernemental et le modèle de gouvernance tribale traditionnelle ont mis en péril la liberté des individus et réduit l'éventail des choix dont ils disposent.
Manning et Harris recommandent, entre autres, d'encourager l'accession à la propriété privée sur les réserves, notamment pour aider les ménages à devenir propriétaires de leur résidence.
Pour lire le document de l'Institut Économique et l'Institut Fraser: Une vision d'avenir
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11 hours ago
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