Suite à une diminution de 30% du chiffre d'affaires des exploiteurs de restauration dans les arénas, la Ville de Québec se voit contrainte de s'avouer défaite dans sa décision d'imposer la bonne nutrition aux jeunes et moins jeunes qui fréquentent les arénas et de faire marche arrière. En effet, depuis l'interdiction de la malbouffe dans les arénas, au lieu de se contenter de ce que les restaurateurs sur place servaient, bon nombre de joueurs et leurs parents apportaient leur propre choix de bouffe qu'ils achetaient ailleurs. La morale de cette histoire? Comme on le dit depuis longtemps, les bonnes habitudes de vie ne s'acquièrent pas par la force. On les adopte petit à petit à travers l'éducation – le seul rôle que l'état doit assumer – l'indulgence et les encouragements positifs de l'entourage proche et aimant. Dire à un jeune qu'il n'a pas le droit de manger une poutine à l'aréna car la loi ne lui permet pas est non seulement un incitatif pour le jeune de faire tout à fait le contraire, mais aussi une absurdité lorsqu'il sait qu'il peut se la procurer ailleurs. Il ne faut jamais sous-estimer la soif de l'individu d'être maître de ses décisions bonnes et moins bonnes et son désir de ne faire qu'à sa tête lorsqu'on tente de lui imposer une façon de vivre malgré sa volonté. Croire le contraire est un gaspillage de ressources humaines et financières. Ressources qui seraient beaucoup plus profitables si elles étaient consacrées à des programmes d'éducation et de sensibilisation.
“Just Asking Questions” about the election
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Last week Liz Wolfe and Zach Weissmueller invited me onto their “Just
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libertarians s...
4 hours ago
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